l'Urgence que requiert la mise en place des instruments devant redynamiser le secteur de l'exportation des fruits et Légumes entre les opérateurs des deux rives de la Méditerranée, est vivement recommandée pour plusieurs raisons.

Les bouleversements économiques des pays du Sud de l'Europe, et les changements qu'imposent d'efficaces règles de gouvernance et de management inter sectoriel dans les pays producteurs, accélèreront sans doute le rapprochement d'alliances rendu vital , pour ces acteurs économiques devant résister à « l'Apocalyptique émergence asiatique » et le partage concurrentiel des parts de marché à défendre ....

Le Marché Sud Méditerranéen, inter complémentaire suscite un intérêt certain quant à la consolidation des libre-échanges en mouvements et flux de marchandises, facilités accordées, accessibilité à tous les acteurs, pour créer le schéma stratégique de la Sécurité Alimentaire d'une part et se dôter de « l'arme décisive » future « l'Agroalimentaire ».

C'est là où doivent être injectées toutes les possibilités d'Aide à la production prodiguée par les opérateurs du Nord en direction de ceux du Sud pour les réajustements structurels (flexibilité de management export) et mise à niveau des animateurs de partenariats d'affaires exclusivement tournés vers l'intégration, via le développement de consortiums à l'export.

Le cheminement est balisé, les structures prêtes, les produits s'imposent d'eux-mêmes, il n'ya qu'à mettre les palettes sur quai traduisant dans les faits la création et le développement de Consortiums d'exportation d'entreprises industrielles dans le secteur Agroalimentaire.

Elias CHERIF

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